a short city portrait...
KRAKOW:
A few weeks ago, we had the opportunity to visit this city. The circumstances were not so pleasant, we came there to see the Auschwitz concentration camp. So we didn't really think about the city itself, we just mentally prepared ourselves to see one of the most horrible places in the world. When we arrived at the Krakow train station after a 15-hour train trip, the surroundings didn't really put me in a good mood: I only had to think that I had a longer walk with my 10-kg backpack in front of me. The station didn't really look very special, a station after all. But when we passed a park where despite the main road next to it, it was relatively quiet and the birds were chirping happily, I started to like the city. The further we went towards the center, the more beautiful the city became. At the level crossings, pedestrians always had priority, there were no red lights for them, only for cars. Every ten minutes the blue tram passed by, without any noise. On every corner there were welcoming shops, vintage shops and vegetarian, vegan and traditional Polish restaurants. The pigeons, we won't forget them either. On the main square, it feels as if all the pigeons of the world have gathered there together. The air is good, the city is clean and big enough not to interfere others. This city helped us to appreciate the journey of "Promemoria", it reminded us that life can be beautiful and peaceful.
05.02.2020: 14:01
THE ORIGINAL TEXT:
CRACOVIE :
Il y a quelques semaines, j'ai eu l'occasion de visiter cette ville. Les circonstances n'étaient pas si agréables, nous sommes y venus pour voir le camp de concentration d'Auschwitz. Je n'ai donc pas vraiment pensé à la ville elle-même, je me suis juste préparée mentalement à voir l'un des endroits les plus horribles du monde. Lorsque nous sommes arrivés à la gare de Cracovie après un voyage en train de 15 heures, les environs ne m'ont pas vraiment mis de bonne humeur : je devais seulement penser que j'avais une marche plus longue avec mon sac à dos de 10 kg devant moi. La station n'avait pas vraiment l'air très spéciale, une station en fait. Mais en passant un parc où malgré la route principale à côté, c'était relativement calme et les oiseaux gazouillaient joyeusement, j'ai commencé à aimer la ville. Plus nous avancions vers le centre, plus la ville devenait belle. Aux passages à niveau, les piétons avaient toujours la priorité, il n'y avait pas de feu rouge pour eux, seulement pour les voitures. Toutes les dix minutes, le tramway bleu passait, sans bruit. À chaque coin de rue, il y avait des boutiques accueillantes, des magasins de vintage et des restaurants végétariens, végétaliens, mais aussi des restaurants traditionnels polonais. Les pigeons, je ne les oublierai pas non plus. Sur la place principale, on a l'impression que tous les pigeons du monde s'y sont rassemblés. L'air est bon, la ville est propre et assez grande pour ne pas gêner. Cette ville m'a aidée à apprécier le voyage de « Promemoria », elle m'a rappelé que la vie peut être belle et paisible.
Comments